Manutentionnaire

Ce métier est considéré comme accessible sur le marché de l’emploi en ce sens il s’agit majoritairement de déplacer des marchandises, objets divers et charges d’un endroit à un autre, sur des trajets courts (entrepôt-transport, transport-entrepôt). Avoir de l’expérience est explicitement mentionné dans moins du quart des offres gérées par le Forem en 2023 ; en revanche, le permis B est souvent souhaité (57,5 %).

Les personnes qui ont plus de 18 ans et qui ont appris le métier de conducteur de chariot élévateur par la pratique peuvent faire reconnaître leurs compétences de façon officielle via une validation de compétences.

Le cas échéant, pour ce métier, en général, le conducteur doit avoir suivi une formation spécifique à l’engin utilisé si celui-ci est utilisé lors des tâches de manutention. Il n’existe pas un « brevet de cariste » unique et officiel. Les CECAF (Certificat de compétences acquises en formation) et titres de compétences ont valeur de brevet.

Les opportunités d’emploi gérées par le Forem pour ce métier proviennent des provinces de Hainaut, de la région de Bruxelles-Capitale mais aussi avec l’absence d’indication d’une localisation. Les autres provinces wallonnes sont minoritairement indiquées dans les opportunités d’emploi (ce qui concerne un cinquième de ces opportunités). Concernant la non mention d’une localisation, cela pourrait être lié aux contrats intérimaires, mais aussi à l’articulation de plusieurs sites où exercer le métier (stockage, transit, livraison).

Source : Le Forem

Les employeurs proposent majoritairement des emplois à temps plein.

Source : Le Forem

Les employeurs proposent majoritairement des emplois intérimaires, dont une petite partie avec une option CDI (contrat à durée indéterminée).

Source : Le Forem