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Énergie, eau, assainissement et dépollution

Ce secteur regroupe l'ensemble des activités industrielles liées à la filière énergie, eau, assainissement et dépollution.
Le secteur de l'énergie couvre deux domaines. Le premier, la cokéfaction et le raffinage, comprend les activités de transformation du pétrole brut et du charbon en produits utilisables. Le second, la production et la distribution d'électricité, de combustibles gazeux, de vapeur et d'air conditionné via une infrastructure permanente de câbles, canalisations et conduites.
Le secteur de l'eau, assainissement et dépollution est composé de quatre domaines majeurs. Le premier comprend les activités de captage, de traitement et de distribution d'eau pour les besoins des ménages et industries. Le deuxième, la collecte et le traitement des eaux usées. Le troisième est composé de la collecte, le traitement, l'élimination et la récupération des déchets triés ainsi que le démantèlement d'épaves. Le quatrième domaine comprend la dépollution et autres services de gestion des déchets.
Analyse du secteur
En réponse au dysfonctionnement global de la société (crises écologique, sociale, sanitaire et énergétique), la transition vers une économie neutre en carbone est une valeur environnementale forte pour guider tous les acteurs des différents secteurs à atteindre la transformation attendue de l'économie mondiale.
Les transitions écologique et énergétique constituent la trame des stratégies européennes (Green Deal) et wallonnes (Plan de Relance, Plan Air Climat Energie, Circular Wallonia...) qui en fixent les balises.
La raréfaction des ressources naturelles, la perte de la biodiversité, les changements climatiques et les enjeux énergétiques mettent le secteur de l'énergie, l'eau, l'assainissement et la dépollution au premier plan.
Ainsi les chaînes de valeurs des entreprises, les modes de production et de consommation et le recyclage des matières doivent être revus. Cependant, les marchés des produits restent dépendants des règlementations en matière d'environnement, des attentes des clients et des progrès technologiques et numériques. Ainsi, de nouveaux modèles économiques sont apparus en lien avec l'économie circulaire, de la fonctionnalité, collaborative, de partage, des circuits courts...
Tout doucement, l'écologie environnementale prend de l'importance dans la mise en place des projets économiques et ouvre la porte à des nouveaux emplois. En effet, intégrer les préoccupations écologiques et énergétiques dans l'activité économique et sectorielle implique de transformer les emplois, les compétences et de ce fait les formations et l'enseignement.
L'énergie, un secteur stratégique pour l'économie
L'économie est soutenue en Belgique par l'industrie qui occupe un poids relativement plus important dans l'économie belge que dans celle des pays voisins. C'est la conséquence de la spécialisation de notre industrie dans les secteurs de la chimie, l'alimentaire, le pharmaceutique, la métallurgie qui sont des secteurs intensifs en énergie et qui contribuent au PIB de manière plus importante.
Tout comme les entreprises très consommatrices en énergie, les particuliers sont également incités à consommer moins d'énergie. La production et la consommation des énergies actuelles engendrent en effet de la pollution par les émissions de dioxyde de carbone et de particules fines.
Une sensibilité croissante pour les énergies renouvelables se fait donc sentir. De plus, les problèmes d'approvisionnement en énergie et les envolées de prix nous renvoient vers un modèle plus vert. Les différentes alternatives mises en place sont les parcs d'éoliens, les unités de cogénérations à base de biomasse, l'énergie solaire (thermique et photovoltaique), l'énergie géothermique, l'énergie hydroélectrique, l'hydrogène renouvelable... Cette dernière jouera un rôle essentiel dans la réalisation du Pacte Vert pour l'Europe et la stratégie de l'UE pour l'hydrogène. Le souhait est que la Wallonie devienne une vallée de l'hydrogène interconnectée à travers l'Europe et structurée autour de plusieurs hubs.
Le Plan stratégique wallon pour l'hydrogène, validé en mai 2024, vise à développer la filière de production. Les raisons sont les suivantes :
- Décarbonation : vecteur énergétique clef pour réduire les émissions de CO2 dans le transport lourd et l'industrie.
- Recherche et innovation : des projets sont en cours pour créer des infrastructures adaptées à la production et au transport de l'hydrogène.
- Emploi et formation : la filière devrait générer des nouveaux emplois et nécessitera des formations spécialisées.
- Sécurité énergétique : la filière va diversifier les sources d'énergie et renforcer l'indépendance énergétique de la région.
Selon le Plan National Energie-Climat 2021-2030 (PNEC), la Wallonie poursuit son engagement vers une réduction de ses émissions de 55% d'ici 2030 et la neutralité carbone en 2050. Les investissements mais aussi les coûts pour l'entretien, l'évolution du réseau et du personnel des réseaux de distribution du gaz et de l'électricité, le placement des nouveaux compteurs intelligents... entrainent de nouvelles augmentations dans la facture du consommateur pour atteindre les objectifs européens. Cependant, afin d'adopter des nouveaux modes de consommation et des habitudes différentes, des nouvelles possibilités tarifaires voient le jour comme le tarif dynamique heures super-creuses (une à sept heures du matin). Déjà en place en Flandre et à Bruxelles, celui-ci devrait arriver en Wallonie en 2025.
Quant au Plan Air Climat Energie 2030 de la Wallonie, il met deux axes en avant :
- Améliorer la performance énergétique des bâtiments par le biais des primes à la rénovation
- Doublement de la production d'énergies renouvelables pour 2030 et sortie complète des énergies fossiles en 2050.
Le recours aux énergies alternatives et les incitants des pouvoirs publics et assimilés pour renouveler le parc du bâtiment public en Wallonie sont porteurs de nouveaux métiers et qualifications.
En dépit des efforts fournis par la Belgique, la Commission européenne juge insuffisant le PNEC belge. Une nouvelle version est attendue d'ici juin 2025.
Le gouvernement De Wever fait de la décarbonation d'ici 2050 une priorité. Les diverses intentions retenues par le gouvernement sont :
- un leasing social pour faciliter l'accès aux voitures électriques;
- une suppression des primes sur les utilitaires à propulsion fossile;
- un assouplissement des conditions de prêts pour les habitations énergétiquement performantes,
- une baisse de la TVA sur l'installation des pompes à chaleur,
- une hausse du prélèvement sur l'installation de chaudières au gaz et au mazout.
De plus, un nouveau système d'échange de quotas d'émissions de CO2 nommé ETS 2 (extension du marché du Carbone européen) sera officiellement lancé dans tous les pays en 2027. La surveillance et la déclaration a débuté en 2025 en Belgique. Ce système encourage la rénovation thermique des bâtiments et l'électrification du transport routier. Ce système a pour objectif de réduire les émissions de ces secteurs de 43% d'ici 2030 par rapport à 2005.
L'or bleu, un bien précieux
Suite à la hausse démographique et à l'altération de la plupart de nos eaux de surface et souterraines (présence de médicaments, pesticides, solvants, nitrates, engrais...), des impacts visibles sur la faune et la flore sont régulièrement observés. Les altérations sont dues à des gros consommateurs d'eau comme les industries alimentaires, chimiques, de production d'énergie ou l'agriculture qui perturbent la qualité de l'eau et les écosystèmes aquatiques. La problématique des polluants éternels (comme les PFAS) qui pénètrent dans l'eau et les sols sont ingérés par les animaux contaminant toute la chaîne alimentaire et donc l'humain dont la santé est altérée. Actuellement, aucune règlementation européenne ne porte sur les PFAS. La loi européenne sur les PFAS évolue pour limiter l'impact environnemental et sanitaire. En Belgique, les impacts sont :
- Interdiction progressive de certains produits dès 2026, notamment des cosmétiques, des vêtements, des emballages alimentaires et des imperméabilisants.
- Surveillance renforcée des aliments.
- Révision et suivi optimal des seuils de contamination dans les eaux et dans les sols.
Des traitements sont donc nécessaires pour assurer une eau de qualité. Des infrastructures de premier ordre où la digitalisation permettra de nombreux progrès en terme d'hygiène et de sécurité seront donc nécessaires dans les années à venir. Les défis sont similaires que ce soit dans le secteur de l'eau ou de l'énergie. La décarbonation et la digitalisation des infrastructures sont en effet comparables.
En Wallonie, la quantité d'eau présente dans les nappes souterraines est estimée à environ 550 millions de m3 par an. Ces nappes fournissent 80% de l'eau disponible au robinet. La moitié de l'eau potable puisée en Wallonie part vers la Flandre et Bruxelles. En moyenne, les 3/4 des nappes aquifères sont puisées chaque année pour la production d'eau potable. L'équilibre entre volumes d'eau captés pour la consommation et la réalimentation en eau des nappes souterraines doit impérativement être préservé pour l'avenir.
Un autre point de vigilance concerne les inondations possibles des cours d'eau. La gestion de l'eau est une priorité avec les Plans de Gestion des Districts Hydrographiques, qui couvrent les bassins de la Meuse, de l'Escaut, du Rhin et de la Seine. Ces plans visent à améliorer la qualité de l'eau et à prévenir les risques d'inondations suite à une approche concertée avec les acteurs locaux.
La gestion de l'eau implique des compétences de plus en plus pointues. Les métiers de l'eau sont divers et souvent méconnus du public. Ce sont essentiellement les entreprises publiques qui engagent mais également des sous-traitants (entreprises de voiries, bureaux d'études, laboratoires, vidangeurs...) qui recherchent également des postes. Peu de métiers sont uniquement centrés sur l'eau (fontainier, pisciniste, technicien de station d'épuration, hydrologue, ...). Le secteur regorge de métiers annexes dont le centre d'activité est l'eau comme sanitariste, maçon en charge de l'égouttage, producteur d'eau en bouteilles, voiriste, ingénieur civil, soudeur...
D'ici 2027, plus d'un milliard d'euros d'investissements sont prévus, ce qui devrait générer près de 5.200 nouveaux emplois dont la formation de 1.200 techniciens. Ce dynamisme est porté par des enjeux environnementaux, technologiques et sociaux majeurs.
Le déchet, un produit en devenir : "Rien ne se perd et tout se transforme"
La Wallonie a mis en place plusieurs plans stratégiques pour améliorer la gestion des déchets et favoriser l'économie circulaire. A savoir :
- Le Plan wallon des Déchets -Ressources (PWD-R), initié en 2017, comprend plus de 700 actions dont la prévention, le tri, le recyclage et la valorisation des déchets.
- La Stratégie pour déployer l'économie circulaire, initiée en 2021, afin de devenir un pilier de la relance wallonne (Circular Wallonia).
- La Stratégie de spécialisation intelligente (S3) s'appuie sur 5 domaines d'innovation stratégiques (DIS) dont celui des matériaux circulaires.
- Le Plan de gestion des déchets industriels encadre la gestion des déchets de l'industrie et encourage leur valorisation.
- Le Plan de propreté publique lutte contre les dépôts sauvages et améliore la gestion des déchets dans les espaces publiques.
- Le Plan REGAL qui vise à réduire de 30% les pertes et gaspillages alimentaires en 2025 en impliquant tous les acteurs de la chaine alimentaire.
L'étude menée par Deloitte pour Denuo (juin 2023) a démontré que le secteur des déchets et du recyclage participe à la réduction des émissions de CO2 en réduisant les déchets dans les autres secteurs comme l'automobile, l'alimentaire, la construction, ... La réutilisation des déchets recylés évitent l'extraction de matières premières et servent de ressources pour l'énergie verte. En 2020, le secteur a contribué à l'économie de 13,3 millions de tonnes d'émissions de CO2 et cela dans dix chaînes de valeurs. C'est le recyclage des métaux qui représentent 53% des émissions évitées, suivi par les combustibles solides de récupération (SRF) et les déchets organiques.
Par exemple, en Belgique, dans la chaîne de valeur industrie, 46% des déchets proviennent essentiellement du secteur de la construction dont 90% de déchets inertes (gravats). La récupération sur chantier permettrait d'agir sur l'offre de matériaux. En Wallonie, une volonté de mettre en place des conditions de statut de fin de déchet et de sous-produit est à l'ordre du jour pour favoriser les filières de recyclage. C'est déjà le cas, dans la construction, avec le décret de sortie du statut de déchet acté en juin 2021 qui facilite la déconstruction.
En Wallonie, l'objectif des années à venir est l'optimalisation des collectes existantes et le développement de nouvelles collectes comme les plastiques durs, organiques... pour atteindre 68% de collecte de déchets à l'horizon 2025. Un pourcentage bien au-dessus de l'objectif pour l'ensemble des pays européens (65% en 2035).
Au niveau de l'emploi, le volet technologique lié à la circularité des produits met en évidence des métiers comme les ingénieurs dont la valorisation des compétences en STEAM (Science, Technology, Engineering, Arts and Mathematics) et en recherche sont élevées mais aussi des métiers manuels pour valoriser les matériaux secondaires et de déconstruction par exemple. À côté des métiers propres aux déchets, des métiers transversaux communs aux industries en général sont régulièrement demandés comme les chauffeurs, les grutiers, les électromécaniciens, les électriciens... dans le but de transporter les déchets et d'entretenir le matériel utilisé pour le triage et la décomposition des déchets (séparateurs optiques, broyeurs...).
La réintroduction de matériaux secondaires, de sous-produits ou co-produits s'accompagne de normes encadrant les qualités des produits, la sécurité/ dangerosité... qui sont importantes à connaître et à suivre. Les compétences en traitement des déchets pourraient donc être complétées par des compétences plus spécifiques liées au réemploi, au recyclage, à la valorisation d'énergie, aux normes et suivis des procédures.
Un nouveau éco-centre de formation va voir le jour à Belgrade (Namur) en 2027 pour répondre aux besoins actuels liés à l'écologie et au développement durable. Il est porté par l'IFAPME et le Forem. Il permettra d'apporter une réponse concrète aux besoins de main-d'oeuvre des entreprises avec un focus particulier sur les métiers en pénurie.
Le secteur en chiffres
Évolution du nombre d'établissements selon les régions
Le secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution compte 1.884 établissements en Belgique fin 2023, c'est-à-dire 1.884 lieux d'activités identifiables par une adresse où s'exerce au moins une activité de l'entreprise ; un employeur peut compter plusieurs unités d'établissement. La majorité des établissements concernent les sous-secteurs de l'eau, l'assainissement et la dépollution. Plus de 56% des établissements sont situés en Flandre (1.049 établissements).
Ce secteur faisant partie de ceux très sollicités dans la transition "verte", il a vu son nombre d'établissements augmenté chaque année. Depuis 2019, le nombre d'établissements du secteur a augmenté de 5,4% en Belgique. Une augmentation plus marquée se fait sentir en Wallonie avec 13,8% et à Bruxelles avec 14,9% d'augmentation des établissements entre 2019 et 2023.
Répartition des établissements entre les régions
En 2023, cette ventilation géographique avec très peu d'établissements à Bruxelles-Capitale et beaucoup plus dans les deux autres régions (dont celle de la Flandre) est caractéristique au secteur.
Les entreprises en Wallonie sont sur-représentées dans ce secteur par rapport à toutes les entreprises des secteurs confondus (respectivement 38,6 % contre près de 30%).
Répartition des établissements entre les provinces wallonnes
En Wallonie, le secteur compte 727 entreprises fin 2023. La répartition des établissements du secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution met en évidence que moins des deux tiers des établissements se situent dans les provinces de Hainaut (32,3%) et de Liège (28,6%).
Les provinces de Luxembourg et de Namur comptent, en comparaison à la totalité des établissements tous secteurs confondus, proportionnellement plus d'établissements du secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution.
Répartition des établissements et des postes de travail selon la taille de l'établissement en Wallonie
Alors que près de 8 établissements sur 10 tous secteurs confondus comptent moins de 10 postes de travail, le secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution comprend des établissements de plus grande taille. Plus de 30% des postes de travail sont occupés dans des établissements de plus de 200 personnes et 35% dans des établissements de 50 à 199 personnes. .
Évolution du nombre de postes de travail salarié selon les régions
À fin 2023, le secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution comptabilise 57.278 postes de travail salariés, autrement dit de travailleurs assujettis à la sécurité sociale. Les travailleurs qui, à la fin d'un trimestre (à fin décembre 2023) sont occupés par plus d'un employeur sont comptabilisés plusieurs fois par l'ONSS pour ces statistiques.
Comme pour les entreprises, le nombre de postes de travail a augmenté entre 2019 et 2023 en Belgique passant de 54.303 postes à 57.278 postes de travail ; soit une croissance de 5,5 %.
La hausse est plus marquée en Wallonie (+ 8,1%) et dans la région de Bruxelles-Capitale (+ 6,7%). La Flandre, quant à elle, a un pourcentage de hausse (+ 3,8%) inférieure à la moyenne de la Belgique (+ 5,5 %).
Répartition des postes de travail salarié entre les régions
Les postes de travail sont fort présents en Flandre et beaucoup moins dans la région de Bruxelles-Capitale. Tout comme pour les établissements, les postes de travail du secteur sont sur-représentés en Wallonie par rapport à tous les postes de travail des secteurs confondus. C'est dans le sous-secteur de l'énergie que les postes de travail sont les plus importants.
Répartition des postes de travail salarié entre les provinces wallonnes
Fin 2023, la Wallonie comptabilise 17.434 postes de travail sur son territoire.
Comme pour les établissements, la répartition des postes de travail du secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution met en évidence que près de 74% des postes de travail se situent en provinces de Hainaut (36,6%) et de Liège (37,3%).
De plus, ces provinces comptent en comparaison à la totalité des postes de travail tous secteurs confondus, proportionnellement plus de postes de travail du secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution.
Répartition des postes de travail salarié par genre et catégorie d'âges en Wallonie
Le secteur de l'énergie, eau, assainissement et dépollution compte un plus grand nombre d'hommes que de femmes. La tranche d'âge la plus représentée chez les hommes est celle des 50 ans à moins 64 ans. Chez les femmes, la tranche d'âge la plus importante est celle des 25 à moins de 39 ans.
Métiers associés à ce secteur
Sélection des métiers les plus demandés par les entreprises de ce secteur d'activité.
Offres d'emploi liées au secteur
Commission paritaire
- 116 Commission paritaire de l'industrie chimique
- 121 Commission paritaire pour les entreprises de nettoyage
- 124 Commission paritaire de la construction
- 140 Commission paritaire du transport et de la logistique
- 142 Commission paritaire pour les entreprises de valorisation des matières premières de récupération
- 207 commission paritaire pour employés de l'industrie chimique
- 211 commission paritaire pour employés de l'industrie et du commerce du pétrole
- 226 Commission paritaire pour les employés du commerce international, du transport et des branches d'activités connexes
- 326 commission paritaire de l'industrie du gaz et de l'électricité
Liens
Date de mise à jour 01 juin 2025
Chiffres clés du secteur
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727 établissements
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17434 postes de travail
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264 indépendants